lundi 29 novembre 2010

Je m'enivre du bruissement de tes silences, bruissement indélébile
Tes arbres portent de robes longues qui concurrencent les robes des moines
Ta coiffure pucelle à la Jeanne d'Arc, pucelle d'Orléans
Semble faire tomber, tomber de précieux cristaux dans mon âme
Je me réfugie alors sous l'ombrage de tes sentiments, ombrage lumineux
Crois-tu qu'un Dieu artisan horloger du monde a tissé l'amour dans une confection?
Une noble confection?
Qu'il nous rend prisonniers de ce sentiment aussi vital que le sang?

mardi 19 octobre 2010

PATER NOSTER!

Y A DES JOURS COMME CELA, PENDANT LESQUELS MON ÄME CHANTE: "PATER NOSTER QUI ES IN COELIS, SANCTIFICETUR NOMEN TUUM, ADVENIAT REGNUM, etc",

jeudi 26 août 2010

pensée

Si tu poursuis jusqu'au bord du fleuve quelqu'un qui ne sait pas nager, il finira par accepter le combat. 

proverbe de la forêt.

mardi 24 août 2010

CITATION!

FONTENELLE: "UNE BELLE FEMME EST LE PARADIS DES YEUX, L'ENFER DE L'ÂME ET LE PURGATOIRE DE LA BOURSE"

AAAH AMOUR! OOH PASSION!

If loving you is wrong...  Si c'est un crime de t'aimer
I don't want to be right.   Je ne veux pas être juste.

HADES!

J'arrache les clous
Oui je tire les clous
Les épines, les ronces
Les griffes
De mes spectres
Spectres sans spectres
Spectres cent spectres
Spectres sang spectres
Sommeillant
Menteusement
Sans sommeil
Cent sommeils
Sang sommeil
Insomniaques mes sphinx
Me frappant la poitrine
Déchirant, décimant
Mes abîmes, mes viscères
Mes abysses aux cimes
Vertigineuses
Et dont j'arrache
Des clous,
Oui je tire sur mes clous
Oui j'extraie ma vie
Mon souffle haletant
D'un athsme expirant
Hadès

KAYABOCHAN

lundi 23 août 2010

pensée

Quand la femme veut te renverser, tombe seulement. tu ne sais pas ce qu'elle va te donner à terre. 
proverbe Bayangam.

vendredi 20 août 2010

THESE DE DOCTORAT PH.D EN LITTERATURE FRANCAISE!

CHANTAL BONONO: LE ROMAN HISTORIQUE AU XXème SIECLE FRANCAIS: UNE LECTURE DU CYCLE DES ROIS MAUDITS DE MAURICE DRUON.  Département de LMF; Falsh, Ydé I, Octobre 2009.

RESUME



Le roman historique au XXème siècle : une lecture du cycle des Rois maudits de Maurice Druon propose d’abord une analyse des modalités de la réécriture de la France dans le cycle de Maurice Druon. Ensuite, ce travail se veut une contribution à l’étude du roman historique et à son évolution depuis le XIXème siècle jusqu’au XXème où il subit moins un renouvellement comme avec Walter Scott (au XIXème siècle) qu’une métamorphose dans ses dimensions avec entre auteurs, celui des Rois maudits.


Les trois étapes du plan tiennent compte successivement du socle historique dans l’œuvre, de la réécriture de l’histoire et enfin des leçons de l’histoire qui nous ont permis d’appréhender le cycle de Druon comme une illustration et une défense de l’idéologie gaulliste sous la Vème République. L’histoire de la France médiévale, particulièrement de la période capétienne qui est au cœur de sept romans s’est révélée une véritable tragédie dont l’auteur nous livre une interprétation qui semble rattacher tout à la malédiction de Philippe le Bel et sa descendance par Jacques de Molay, Grand-maître des Templiers. Ce faisant, Maurice Druon pérennise certaines caractéristiques du roman historique du XIXème avec Walter Scott, Victor Hugo et Alfred de Vigny. Cependant, l’auteur de la saga capétienne est aussi le symbole d’un siècle et son roman historique en est le reflet, d’où la parenté avec Marguerite Yourcenar et Louis Aragon qui estiment que le roman historique est une quête de soi : « se trouver soi-même », « une plongée dans un temps retrouvé », la prise de possession d’un « monde intérieur », ce qui en appelle à une catharsis.


Pour aboutir à ce résultat, Druon avoue ne pas « transiger avec l’histoire », mais exploiter le champ des hypothèses qu’elle lui ouvre et qui lui permettent de procéder à de « petits aménagements ».


Mots-clés : Histoire, roman historique, idéologie, gaullisme, saga, Capet, France, catharsis, tragédie, médiéval, malédiction, république, plongée, métamorphose, réécriture.


ABSTRACT


The historical novel in the 20th century : a study of Maurice Druon’s cursed Kings, is first presented as an analysis of the rewriting procedure of the history of France. Then, as a contribution to the study of the historical novel and its course from the 19th to 20th century, where it goes through a renewal (in the 19th century) as well as a metamorphosis with the author of “Les Rois maudits” among others.


The three steps of the plan successively take into account the historical base of the work, the rewriting of history and at last the lessons learnt from history, which enable us to apprehend the Druon cycle as an illustration and advocacy of the Gaullist ideology under the 5th Republic. The history of medieval France, in particular during the Capetian period, which is the central element of the seven novels, has proven to be a real tragedy. The author’s interpretation is totally linked to thr curse of Philippe le Bel and his posterity by Jacques de Molay, Grand Master of the Templars. This approach of Maurice Druon perpetuates some characteristics of the Historical novel in the 19th century with Walter Scott, Victor Hugo and Alfred de Vigny. Nevertheless, the author of the Capetian saga is also the symbol of a century which is reflected in Yourcenar and Louis Aragon who think that the historical novel is a self-definition, “finding oneself”, diving into “a retrieved period of time”, taking over an “inner world” which calls up for a catharsis.


In order to obtain this result, Druon acknowledges not “compromising with history, but simply taking advantage of the numerous hypotheses it provides to make a few changes.


Key words:


History, medieval, saga, Capetian, cursed king’s, metamorphosis, Gaullist ideology, Republic, retrieved period of time, rewriting of history.

état des lieux

Dans l’ivresse des marteaux qui assommaient mon crâne
De la nuit,
J’ai ouvert le livre de l’équilibriste pour voir ma vie tenir
Sur le fil du manque d’or dans la cagnotte du partage.
J’ai eu faim de n’avoir pas eu à donner
De n’avoir pas le simple,
Le juste à donner pour que la vie se coule douce
Comme l’impression qui marche avec les aiguilles
De la pendule de déception.
Pendant que la fièvre prenait en otage mon corps,
Et que les pluies venaient meubler la danse du froid
Je me suis vu au fond du gouffre de l’imposture
De l’incapacité de donner et de me traiter
L’absence d’un geste tout naturel qu’on fait pour affirmer
L’identité capitale de père. Le vent me parle.
De quoi ?
On n’a plus le droit de vivre de rire d’écrire de dire
Parce que la part de vie qui donne droit à la vie
Se brise sans vie au pied de la misère. 

mardi 17 août 2010

TRESOR!

TRESOR


T comme Trésor

R comme renfermé

E comme évasion

S comme silencieux

O comme orbite

R comme râleur

Apparemment calme

Et pourtant tumultueux

Garçon aux multiples noms

Semblant traduire de multiples personnalités

Wardy, Wardo, War-j, Mystic

Mystical, Oeil du cyclone,

William, Rapha,

Pour mieux retrouver

Cet être insaisissable qui semble toi

Et pas toi, ce Séraphin angélique,

« Cette fortune de mama Chantal »

Qui tarde à se révéler

Tu es le don d’une grand-mère

Agonisante à sa petite fille.

KAYABOCHAN

CHRISTIAN!

CHRISTIAN


C comme Christ

H comme homme

R comme rire

I comme inimaginable

S comme souffle qu’on retient

T comme terrible

I comme incandescent

A comme adorable,

N comme nerfs

Ô Christian, notre grand blond

Si hyperactif

Aux touchantes maladresses

Tu es la somme de tant d’espoirs !

KAYABOCHAN

vendredi 13 août 2010

POEME POUR TOI!


ETAT FEBRILE


Ca te dit quelque chose ? Je suis fiévreuse

Moins ¾

J’ai mal de toi

Je crois que je sombre

La déprime, la chute,

Le gouffre…

Je ne sais plus !

Le cafard le plus noir

Peut-être ?

Tu me manques

J’ai le mal de Toi

J’ai la fièvre

Du vague à l’âme

Une forte envie de pleurer

Là à ma gorge,

Je ne sais trop pourquoi

Ni trop comment

Mon esprit divague,

Je pense à tout et à rien,

Je ne sais pas de quoi

J’ai envie pourtant

J’ai envie

Envie d’une envie

J’ai faim terriblement

Furieusement fièvreusement de Toi

Mon manque

Mon mal

Mon vide

Mon néant

Vertige de toi !

Toi !

Sans visage,

Toi que je ne peux encore nommer

J’ai la fièvre pour Toi

J’ai la fièvre de Toi

Etat fébrile

Mal de Toi.

KAYABOCHAN

FÊLURE!

FÊLURE


Il y a des moments où

Je ne sais pas ce dont j’ai envie,

Sauf que je veux quelque chose

Je reste là, à attendre la pluie

Tomber,

A la voir petitement épouser la terre, la régénérer, l’aimer

Une journée morose !

Quelle est cette soif, ô mon être ?

De quoi as-tu besoin ?

Quelle est cette chose innommable

Qui semble t’envahir ?

Qui semble t’exclure de toi ?

Je me sens si étrangère

Quelque fois

Hallucinant sentiment d’exil !

Sentiment d’extraction,

Qui n’exprime que ce mal d’être

Ce mal de vie !

KAYABOCHAN

APOCALYPSE


Là, je pense encore à toi

J’y pense jusqu’à ne plus

Pouvoir penser !

Ces envies de meurtres

Ces cris ravageurs

Cette voix sans voix qui s’époumone en moi,

Qui me saisit à la gorge (…)

De ne plus pouvoir saisir

Toute entière à force de vouloir

Qui m’immerge cependant

Qu’elle me submerge

Ces flots qui coulent

Cette onde lentement m’inonde

M’enserre, m’étrangle

Un sursaut

Là je pense encore à toi, faute d’y penser sans

Y penser

Tout baigne

Tout saigne

Tout délire

Tout divague

Tout hétéroclitement s’entrechoque

Là, je pense encore à toi.

KAYABOCHAN

A MES PETITS AMOURS!

T’aimer !


T’aimer ! C’est ce soleil qui pointe à travers le gris d’un jour…

T’aimer ! C’est le flamboiement d’une fleur pleinement éclose…

T’aimer ! C’est la douceur de la lune qui préfigure la plénitude d’une nuit…

T’aimer ! C’est tout l’univers qui chante et la création qui acclame…

T’aimer ! C’est cette langueur dans mon être, cette torpeur dans mon âme…

T’aimer ! C’est pouvoir, vouloir, savoir, devoir, mourir d’aimer…

KAYABOCHAN

RENE VINCENT


Petit phénomène dont je ne saurai me passer

Violent comme un orage

Affectueux comme l’affection même

Elfe joyeux au rire plus cristallin que l’eau de source

Lutin malicieux à l’espièglerie saisissante

Fantasque comme une humeur

Pour certains tu es « Klé 14 »

Gras double

Mystic

Zeus

Papa Siriki, bobo Diouf

René

Pour moi tu es le régal de mes yeux

Le délice de mon âme

Mes abîmes, mes néants

Mes abysses, mes vides s’apaisent en toi !

KAYABOCHAN

KARIMA!


KARIMA


Rêve à peine éclos

Aux promesses kaléiodoscopiques

Aux impertinences attendrissantes

Déjà femme jusqu’au bout des ongles

Tu es le charme du charme

Le caprice des caprices

A la fois le rêve de nos métamorphoses

Et la métamorphose de nos rêves !

KAYABOCHAN

BEN BOY!

BEN BOY


Né du quasi suprême sacrifice d’une mère

Aimé, porté par l’élan de tout un clan

Issu des prières et des veilles inlassables

Au-delà du supportable

Impulsif

Irascible parfois comme un certain oncle

Obstiné et en même temps

Si vulnérable

Emmanuel tu es

Roy tu resteras

Pour nous tous !

KAYABOCHAN

mardi 10 août 2010

tu étais où mon frère

Je pense à ce que j’ai vécu parmi les hommes
Parmi ces femmes qui lèvent la prière au ciel
Je me rappelle ma faim atroce de plusieurs jours
Au voisinage de ceux qui prient pour manger.
Je n’ai entendu la voix de personne ; de personne
Au nom du seigneur m’inviter à sa table.
Dans les entreprises à l’effigie du christ
Aucun homme de foi ne m’a déchargé du chômage.
 Aujourd’hui tu me parles de ta bible et de ta foi
Quelle foi ? Je n’ai pas vu la foi quand j’implorais de l’aide.
Je ne vois pas la foi secourir les hommes en peine
Et l’amour du prochain n’existe qu’en évangile.
Tu étais où mon frère quand j’avais besoin de toi ?
Tu étais où le jour où mes prières pleuvaient
Sur les routes du chômage, avec soif et famine ?
Je ne pouvais pas cotiser pour ton église non !
 Aujourd’hui je veux aimer mon prochain
Et partager à ma table tout mon pain et mon vin
Pour l’amour de l’espoir et de l’effort de vivre.
Le partage est amour et le travail est amour.

Sur la table ce soir.



Sur la table ce soir y aura rien ma chérie
J’ai tournée dans la ville en chantant haut et fort
Personne n’a ouvert  au chant son coeur d’amour.
Dans le ventre ce soir nous n’y mettrons rien
Mes chansons que t’adores ne plaisent bien qu’à toi
Et notre amour n’achète ni le pain ni le vin.
Dans notre lit cette nuit je chanterai pour toi
Une chanson trompe la faim qui berce la misère.
Si demain est  meilleur nous irons loin chanter
Là où mon chant s’entend dans la ballade du vent.
Sur une table fournie nous serons invités.
Dors ma belle, dors demain sera meilleur. 
Wakeu Fogaing

jeudi 5 août 2010

pensée

"Si la Case de ton voisin brûle, verse l'eau sur la tienne".
Proverbe de la forêt. 
voilà ce qu'est devenu notre Solidarité africaine. 



mardi 3 août 2010

paroles

"La mouche qui trop souvent côtoie une plaie, 
court d'avantage au devant de la mort qui la guette
le balai du vieillard est une arme terrible pour la vilaine bête
gare à elle si la moindre imprudence la trahi
le balai l'assomme et le vieillard de son gros orteil 
la réduit en pâte".
Christophe Kuate in Les Sauterelles.

lundi 2 août 2010

Prise de Contact

Elle même KAYA BOCHAN

SA MERE KEMPENI

Sa nièce KAYA

Bonjour a tous!je suis de retour et je suis heureuse de vous avoir manquée! comme ça en a tout l'air si je tiens compte de la multitude de commentaires qui ont fait suite à mon dernier message!
Aujourd'hui je vous ai garder quelques photos de l'auteur de ce blog et de sa nombreuse famille prises lors de son voyage à Kribi.
Bonne Journée.
Son neveu BEME
  Son fils CLE 14

Poésie à Bafoussam

je suis noyé dans le froid
dans la mer froide de l'air montagneux
et mon corps porté par l'habitude de kribi
cherche les marques d'une possible 
vague qui renvoie sur le sable. 


Wakeu Fogaing

dimanche 1 août 2010

poésie à Kribi

Pourquoi  la faim a un nom
Qui traine chez-nous
Dans les sous-sols de l’ascenseur social ?
Pourquoi le mot partage
Qui se prononce si facilement
Ne corrompt pas les consciences ?
Pourquoi le bien public
Dans les poches des élus
Est devenu privé ?
Pourquoi les hommes de loi
Sont devenus coupables
En rendant aveugle  la justice
D’oppression ?
Pourquoi l’homme qu’on dit si doux
Est devenue une proie
Pour l’homme au pouvoir ? 

mercredi 28 juillet 2010

pour chanter l'espoir

L’ombre de l’inertie plane
Dans les écoles des cadres de mon pays.
Un esprit omnivore dévore le dynamisme
Des cadres ambitieux.
L’ambition se transforme en l’envie
Du budget,
Proie facile pour les anciens budgétivores.
Et la part du vol devient la part du lion
Quand le progrès s’essouffle des caisses vides
D’un état en voie de sous-développement.

wakeu Fogaing

Lectures critiques!

Enfin les lectures critiques de nos pièces! Les titres: Langues de judith Lesur, Sursis de Botomogne, Un Molière en bois de Wakeu Fogaing, Destination de Kayabochan. Hip! Hip! Hip! Hourra!pour les Auteurs!

Vague à l'âme!

Bientôt les adieux à kribi!
Anse où se sont abrités
sentiment doux amer
oxymore, oxymoron!
la blondeur de Lyon
les bronzés de Balamba
et de Bafoussam
Enfin la grosse sirène,
ô Bougnougoulouk
et Ebène Assala
entremêlés!
Les vagues caressantes ou tumultueuses
Le vent orageux ou zéphyr
comme le chien de judith
Dans un élan coital de création
des textes des éléments et
des auteurs sont nés
très souvent en fusionnant
leurs humeurs
Atmosphère apocalyptique!
Ambiance de fin de monde!
cosmos typhonique
pour la géante parturition
de nos bouteilles à la mer
Vigny et ses Destinées.
    Kayabochan

Un exercice!

essai de manipulation des images!

jeudi 22 juillet 2010

La sirène de Kribi!

La Mami Wata: encore nommée la sirène, la naiade, cette belle dame est la maîtresse de ces flots qui mugissent. Des yeux simplement humains ne peuvent l'apercevoir semble-t-il. Elle régente tout un univers dans les abysses de l'eau et sauve parfois des humains. Certains rituels en font la marraine des pécheurs chargée de les protéger pendant 3 à 5 jours de pêche dans cette infinité de l'horizon où l'on n'aperçoit que de l'eau à perte de vue. Mais il arrive qu'à l'instar des sirènes d'Ulysse, elle entraîne le pêcheur à sa perte. Belle fatalement, mystérieuse femme poisson, énigmatique, quasiment immatérielle, fantasme fantasque.

mercredi 21 juillet 2010

identité de ma marionnette



mi-humain mi-oiseau, sorte de totem qui déploie ses ailles à la nuit tombée pour aller féconder et semer à tout vent par son phallus virilement dressé à l’instar des quatre branches qui lui servent de cheveux les quatre points cardinaux qui vont tout azimut plus une queue de côté qui l’aide à pousser son navire. De cette queue il s’en sert parfois pour fouetter ses victimes hommes ou femmes il adore rependre la terreur dans le village. On ne sait d’où il vient, il surgit de nulle part mais sait toujours par où il est passé quand le village est ravagé. Etre sans yeux et sans nez, tête enturbannée de blanc, fantôme ou mythe. Deux bras aillés et deux excroissances sur le dos dressé suer son navire, il est impressionnant par tant de bourrasques il plie il penche jamais son navire ne chavire.

Super!

A vous chers tous j'y suis parvenue: voilà mon blog