lundi 29 novembre 2010

Je m'enivre du bruissement de tes silences, bruissement indélébile
Tes arbres portent de robes longues qui concurrencent les robes des moines
Ta coiffure pucelle à la Jeanne d'Arc, pucelle d'Orléans
Semble faire tomber, tomber de précieux cristaux dans mon âme
Je me réfugie alors sous l'ombrage de tes sentiments, ombrage lumineux
Crois-tu qu'un Dieu artisan horloger du monde a tissé l'amour dans une confection?
Une noble confection?
Qu'il nous rend prisonniers de ce sentiment aussi vital que le sang?